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Montpellier 2000 
First Meeting of the Intergovernmental Committee for the Cartagena Protocol (ICCP1)
(11-15 December 2000, Montpellier, France)


Greepeace - Francia

A Montreal si era fatto un passo avanti (vedi pagina di Montreal o i comunicati stampa)
Ora si cerca di ratificare quell'accordo preliminare in cui si riconosceva il diritto dei singoli stati di invocare il Principio di Precauzione

APPELLO PER LA MANIFESTAZIONE DEL 13 DICEMBRE ALLE 16:00
 
Cosa succede a Montpellier:
 
Aggiornamento ufficiale della conferenza: in francese e inglese
 

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I comunicati stampa

(vedi anche il rapporto di Greenpeace )

  • (AFP)Mis à jour le samedi 29 janvier 2000

    Adoption d'un Protocole sur la biosécurité

    Les délégués de plus de 130 pays ont adopté samedi matin à Montréal le Protocole sur la biosécurité, qui encadrera les échanges d'organismes génétiquement modifiés (OGM) pour éviter tout risque sur l'environnement.
    Le Protocole place sous haute surveillance tous les échanges d'OGM, qu'il s'agisse de semences ou de produits agricoles destinés à l'alimentation humaine, animale, ou aux usines agro-alimentaires. Il permet notamment aux pays membres de s'opposer aux importations d'OGM s'ils sont jugés dangereux pour l'environnement ou la santé. 
    Ce nouvel accord international sur l'environnement est le premier conclu dans le cadre de la Convention de l'ONU sur la biodiversité de 1992. 
    Il s'ajoutera à la série de traités internationaux qui, ces dernières années, ont limité le commerce de plusieurs produits sensibles, comme les produits chimiques dangereux, les espèces animales en danger, les CFC (chlorofluorocarbones) ou les déchets toxiques.


 

  • Mis à jour le samedi 29 janvier 2000 (Le Monde)

    MONTRÉAL de notre envoyé spécial

    Après une semaine d'âpres négociations, la conférence de Montréal sur le commerce mondial des organismes génétiquement modifiés (OGM) s'est achevée par l'adoption du protocole malgré un ultime affrontement entre l'Europe et les Etats-Unis. Les délégués des 138 pays représentés ont accepté le texte du « protocole sur la biosécurité » obtenu après une nuit d'âpres négociations.

    Ce traité doit définir les règles internationales régissant le commerce des organismes génétiquement modifiés (OGM). La discussion finale s'est focalisée sur la nécessité d'identifier clairement les OGM lors des transactions : les producteurs de céréales transgéniques devront se préparer à établir une filière séparée, telle que celle qui est en train de se mettre en place en Europe. Le débat a opposé l'Union européenne et les pays en développement, d'un côté, et de l'autre le « groupe de Miami », qui comprend les Etats-Unis, le Canada et l'Argentine, les trois principaux - et presque les seuls - producteurs mondiaux de céréales transgéniques.

    LE PRINCIPE DE PRÉCAUTION

    Les délégués canadiens affirmaient que cette mesure d'identification des OGM était « impossible à mettre en oeuvre » et les industriels présents dans les couloirs expliquaient qu'elle serait très coûteuse. Côté européen, le ministre danois de l'environnement, Svend Auken, a souligné que « le protocole est un traité pour la protection de l'environnement, pas pour la protection des producteurs ». L'Europe s'est elle-même engagée, avec l'étiquetage des produits OGM, dans une logique de filière séparée. L'Union européenne a fait des concessions importantes en acceptant à Montréal une formule peu précise et un délai de deux ans avant une réelle décision internationale sur cette indentification.

    En revanche, le groupe de Miami a accepté la mise en oeuvre concrète du principe de précaution, qui permettra à un pays de refuser l'importation d'OGM en cas d'incertitude scientifique. Approuvée par la quasi-totalité des délégations - et notamment par celles des pays du tiers-monde qui ont milité activement pour son maintien -, cette disposition n'a finalement pas été remise en cause par le groupe de Miami.

    Les Etats-Unis ont gagné du temps. l'accord adopté n'oblige pas les exportateurs d'OGM, dans l'immédiat, à créer une filière séparée.

    Hervé Kempf 

     

 

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